Voici la retranscription du discours engagé et sans concession de Wafa Sultan, un discours qui est plus que jamais d’actualité. Comment certains peuvent-ils encore qualifier la lutte contre l’islam de propos raciste ? Faut-il que certains soient blessés dans leur chair,que ceux qu’ils aiment soient concernés, ou bien que leur confort parisien soit perturbé, avant d’accepter enfin l’inévitable conclusion ? L’islam, cela commence avec la mise sous tutelle des femmes et la police des mœurs, cela finit par la barbarie absolue.
J’ai décidé de combattre l’islam. Faites attention à ce que je vais dire. Combattre l’islam, non pas l’islam politique, ni l’islam militant, ni l’islam radical, ni l’islam wahhabite, mais l’islam en soi ! Je crois fermement que l’Occident a inventé tous ces termes pour rester dans le politiquement correct.
Durant mon enfance en Syrie, je n’ai jamais entendu parler que de l’islam tout court ! L’islam n’a jamais été incompris, car l’islam est en lui-même le problème, mais personne n’ose dire la vérité. Personne ne cherche les racines même du terrorisme, à savoir cette machine de lavage de cerveaux nommée islam.
L’islam ne dépend pas de moi, ni d’aucun musulman. L’islam est exactement ce que le prophète Mahomet a dit et a fait. Pour comprendre l’islam, vous devez lire la biographie traumatisante et choquante de Mahomet.
Âgé de plus de 50 ans, il épousa sa deuxième femme alors qu’elle n’avait que 6 ans ! Je viens de rentrer de France. Là-bas, j’ai débattu avec une musulmane : l’ex-ministre des femmes au Pakistan. Et quand j’ai exposé ce fait à l’audience, l’ex-ministre pakistanaise m’a interrompu en disant : « c’est un grand mensonge, elle avait 9 ans, non pas 6 ans ». Cela revient à ce qu’un policier vous arrête pour excès de vitesse à plus de 160 km/h et que vous lui dites : « c’est un grand mensonge, j’allais à 150 km/h ». Oui, « elle avait 9 ans et pas 6 »…
Mahomet épousa ensuite sa belle-fille ! Son fils était adoptif. À l’époque l’adoption n’était pas tolérée par la culture arabique pré-islamique. Alors il s’est tourné vers ses fidèles et leur a dit : « Dieu m’a dit que l’adoption est interdite ». Et croyez-le ou pas, l’adoption est depuis interdite dans l’islam, et cela uniquement afin de justifier son mariage avec sa belle-fille !
Sa onzième épouse, Safiya, était juive. Tout cela est bien documenté dans nos livres scolaires : Mahomet attaqua la tribu de sa future épouse, tua son père, son frère et son mari. Et le jour même, il coucha avec elle. Voici ce que j’appelle l’islam.
Vous devez savoir, vous devez comprendre que l’islam est le problème en soi. J’en ai assez de tous ces occidentaux qui me demandent d’adoucir mon message. Je suis fatiguée de tous ces gens qui me demandent : « es-tu en train d’essayer de convertir 1,3 milliards de musulmans ? » Oui, j’essaie ! Non seulement j’essaie de le faire, mais j’y arriverai.
Sachez que la toute première valeur que j’ai apprise quand j’ai émigré vers ce merveilleux pays [les États-Unis] est : vous pouvez réaliser l’impossible, si vous croyez profondément en vous-même ! Je ne crois pas seulement en moi, je crois encore plus en ces millions de femmes musulmanes, comme Nonie Darwish et Ayaan Hirsi Ali. Nous travaillons main dans la main pour convertir ces 1,3 milliards de musulmans. Les musulmans doivent comprendre qu’ils n’ont que deux choix : changer ou être détruits.
Je vous en prie, que votre façon civilisée de penser n’entrave pas la défense de votre merveilleux pays. Je vous en prie, défendez vos valeurs, votre liberté. Défendez ce paradis où vous vivez ! Ne prenez rien pour acquis. Je ne le fais pas ! Je prends vraiment goût à chaque moment de ma vie américaine.
Le simple fait de marcher seule dans la rue sans être accusée de prostituée, est une grâce pour moi. Le simple fait de pouvoir bavarder avec mon voisin masculin sans être accusée d’adultère est une grâce pour moi. Pouvoir prendre une tasse de café toute seule au Starbucks est une grâce pour moi. Je vous en prie, ne prenez rien pour acquis. Je vous en prie, défendez ce beau pays.
Mon rêve est de voir mon pays, la Syrie, aussi libre que le sont les États-Unis, et non pas l’inverse. Quand j’étais en Syrie, je ne cessais pas de pleurer. Maintenant que je suis libre, je pleure toujours, et plus fortement qu’avant. Je pleure pour toutes ces femmes restées là-bas. Mon rêve de les voir toutes libres un jour devrait être le rêve de toute l’humanité. Merci beaucoup !