Les paroles de Mahomet qu’on vous cache

Comme l’explique parfaitement dans cette vidéo Anne-Marie Delcambre, spécialiste française de l’islam (Docteure de 3ème cycle de l’Université Paris IV en études islamiques, Docteure d’État en droit et agrégée d’arabe classique, professeure d’arabe littéraire et auteure de nombreux livres), l’islam et les musulmans ne suivent pas les seuls enseignements sacrés du coran, mais également ceux des nombreux hadiths qui recèlent les propos et actions de leur « prophète » Mahomet et qui indiquent les traditions à respecter.

Anne-Marie Delcambre nous révèle de nombreux extraits de ces hadiths dont les imams et défenseurs de l’islam en occident se gardent bien de révéler l’existence. Lorsque nos sociétés civilisées pointent du doigt tel ou tel comportement rétrograde, l’excuse employée par les « savants » musulmans à destination du public occidental et mécréant est que « cela ne figure pas dans le coran ».

Or il s’agit là d’un habile mensonge par omission, car ces comportements rétrogrades ne sont pas des traditions tribales ou des inventions de fidèles dévoyés ; ils sont clairement dictés par des ordonnances figurant dans les hadiths qui sont très respectés dans le monde musulman. En réalité, le coran est la partie la plus visible et la plus présentable — c’est dire — du corpus théologique islamique.

Ce qui explique cette dissimulation (et bien d’autres encore) c’est que l’islam prévoit (dans le coran, sourate 3:28, puis dans les commentaires d’Ibn Kathir) le principe de «tromperie religieuse» (al Taqqiya). Ce principe encourage les musulmans à tromper des non-musulmans dans la mesure où cela peut faire avancer la cause de l’islam. Les musulmans l’utilisent de nos jours en occident afin de donner l’image d’une religion de paix, ce qui est totalement l’inverse de la vérité.

La tromperie est autorisée quand les musulmans sont vulnérables ou en position de faiblesse. Ils peuvent tromper les infidèles, faire semblant d’être amis avec eux.
«Nous leur sourions par devant, mais par derrière, nous les maudissons.»

La vidéo montre Malek Chebel, jugé progressiste par certains, qui expose avec duplicité que la seule lapidation figurant dans le coran est celle de Satan. Il sait mais ne dit pas que les hadiths, eux, autorisent la lapidation des femmes. Quand Tariq Ramadan répliquait à Nicolas Sarkozy qu’il fallait mettre en place un moratoire sur la lapidation (que son frère Hani Ramadan avait défendue), c’était à défaut de pouvoir nier sa prescription dans les hadiths et donc dans l’islam, ce qui eut été trop facile à démontrer.

De telles ordonnances, il y en a des stupides, comme la direction vers laquelle faire ses besoins, le nombre de pierres approprié pour s’essuyer les fesses ou les flatulences de Satan. Malgré l’aspect comique ou décalé, tout cela est véridique et est documenté dans la vidéo.

Il y a surtout, et en grand nombre, des préceptes dangereux dont voici quelques exemples :

  • la constatation par Mahomet que la majorité de ceux qui entraient en enfer étaient des femmes ;
  • il faut frapper les femmes dont on craint l’indocilité ;
  • les voleurs doivent se voir couper la main ;
  • les fornicateurs (personnes non mariées ayant des relations sexuelles) doivent recevoir cent coups de fouet en public ;
  • il est nécessaire de tuer les apostats ;
  • le meurtre des mécréants (non-musulmans) est permis, femmes et enfants inclus (dans le « livre du djihad »).

Il y a de nombreuses autres perles à dénicher dans la base des hadiths disponible en ligne (maintenue par des musulmans), par exemple cette permission de tuer les enfants dont on aurait deviné qu’ils ne deviendraient pas musulmans une fois adultes.

La vidéo associe la théorie à la pratique et illustre ces révélations sur la vraie nature de l’islam par des scènes de femmes flagellées en public.

Certains musulmans en France, les plus intégrés, ne sont bien sûr pas au courant des desseins de leur religion, mais cela ne rend pas cette dernière moins dangereuse ou plus soluble dans la République.